lundi 14 mai 2007

le trou noir






Un trou noir est un objet massif dont le champ gravitationnel est si intense qu’il empêche toute forme de matière ou de rayonnement de s’en échapper. De tels objets n’émettent donc pas de lumière et sont alors noirs. Les trous noirs sont décrits par la théorie de la relativité générale. Ils ne sont pas directement observables, mais plusieurs techniques d’observation indirecte dans différentes longueurs d’ondes ont été mises au point et permettent d’étudier les phénomènes qu’ils induisent sur leur environnement. En particulier, la matière qui est happée par un trou noir est chauffée à des températures considérables avant d'être engloutie et émet de ce fait une quantité importante de rayons X. Ainsi, même si un trou noir n'émet pas lui-même de rayonnement, il peut néanmoins être détectable par son action sur son environnement.
L’existence des trous noirs est envisagée dès le XVIII siècle. Il s’agissait alors d’objets prédits comme tellement denses que leur vitesse de libération était supérieure à la vitesse de la lumière — c’est-à-dire que même la lumière ne peut vaincre leur force gravitationnelle. Plutôt qu’une telle force (qui est un concept newtonien), il est plus juste de dire que la lumière subit en fait un décalage vers le rouge infini. Ce décalage vers le rouge est d’origine gravitationnelle : la lumière perd la totalité de son énergie en essayant de sortir du puits de potentiel d’un trou noir. Ce décalage vers le rouge est donc d’une nature quelque peu différente de celui dû à l’expansion de l’univers, que l’on observe pour les galaxies lointaines et qui résulte d’une expansion d’un espace ne présentant pas de puits de potentiels très profonds. De cette caractéristique provient l’adjectif « noir », puisqu’un trou noir ne peut émettre de lumière. Ce qui est valable pour la lumière l’est aussi pour la matière : aucune particule ne peut s’échapper d’un trou noir une fois capturée par celui-ci, d’où le terme de « trou » fort approprié.

?! ...و جدتك

سنين طوال و أنا أبحث عنك كي أذوب و أنصهر في و وجدانك...ابحث عن ملامحك,عن نظرتك الثاقبة الهادفة,و بين ثنايا هذا العالم الكبير الصغير ,و جدتك...
? أوجدتك لأفقدك
? فهل العيب مني أم فيك
وحصرتاه علي فقد بنيت حلمي على قواعدك, و رسمتك ضمن كل لوحات حاضري و مستقبلي...هرم أنت بالنسبة لي كنت و مازلت, و الهرم ستبقين و تظلي.لبنات قاعدتك صمد متراص متين و داخلك مزيج بين أرواح الحور العين و عبق الياسمين.حاشا و كلا أن تكون أو تنعتي بالخائنة اللطيفة أو تمثلي بالورق المقوى المنطوي.
وجدتك كي لا أنساك, و لا أقبل حتى تخيل هاجس فرقاك.
إياك و النزوات و العواطف الهوجاء فمع الوقت ستنمحي.
تهت في نظراتك الحائرة فعجزت عن قراءة ما وراء المقلتين الثائرة, حرريني من غلال شكي و أرجعيني إلى أرض يقيني.
لست بالمستبدة المتملكة, بل أردتك لي أن تَمْلُكي و في عواطفك لي أن تصدقي إذ لن أدعوك بالخليلة أو الصديقة...أشهد أنك سموت لمقام أكثر رفعة, فأنت الأخت التي حرمني القدر من رئيت.
أخرجي,أخرجي من ظلمات الجب المعتم, و تألقي...
عودي, عودي إلى قلعة إخلاصنا لتَخلدي و تُخلدي.
ها أنا أقدم لكي خالص حبي ومودتي فبربك بعواطفي لا تعبثي.و رغم تظاهري بالقصاوة فداخلي هش سريع التأثر
.

jeudi 10 mai 2007

صرخة


كثر الحديث عن النوايا و تولدت الحروب ليتلاشى الحب في أعالي بلاد واد ألعقفي, و اختنقت الكلمات في حناجر الأقلام لتبقى عبارات الدم القادمة من رحم الخراب سائدة في كل الأرجاءفعاد الغريب ليغترب بمسقط رأسه و اخدت عيناه تجول رامقة جنبات الأرض المقدسة لتخطفه الذكريات إلى الماضي القريب, لتعبر الوجوه و المعالم وهي تبحث عن شيء, شيء من بقايا هذا الوطن الشهيد الفقيد...عند ذلك الرصيف كان المارة يشقون طريقهم إلى مستقبل مجهول محفوف بالخطر , و غير بعيد عن المكان تقف بنايات مختلفة متنوعة تنوع أعماق البحار, مراكز إدارية,مساكن بشرية, مدارس و غيرها...و لوهلة لمحت عيناه زاوية تطل على مجمل الربوع,فوقف يراقب سريان وادي المغارة و يستمع لخرير تدفق مياه نهر الزرقاء و يتأمل جبل الكر مل المكسو بالسنديان,بينما النسمات تداعب قطرات الندى اهتز المكان ليعود مصدوما بلا روح...فراغ بداخله و بكل الجنبات,ليجد نفسه يعانق الصرخة الصاخبة وحده وسط كل هذه المشاهد الدامية و جثت تسير مرفوعة الرأس, مكللة بشرف الشهادة على مدى البصر .تمشي وسط دروب انسلخت و أجهضت من هويتها.فسار ملاحقا إياها متسائلا عما وقع: « أين البرج الأحمر, الجامع الكبير و مسجد هاشم ثم أين و أين و أين, أين فلسطين أين كل فلسطين يا وجعي عليك يا أقصى
فتعالى صوته في الأفق مرددا:«الحياة هنا,العيش هنا حيث يولد الموت و تتنامى الفجيعة و الخديعة.الحياة هي الاستمرار الصعب في الوطن.لتنطلق رصاصة غادرة فتستقر بين أحشائه,ليسقط حتى يحمل نعشه و يبكى ليكون موته نار برد و سلام فمتى سينادي الحجر و الشجر, لتزهو القدس و يبزغ الفجر على السهل و الخصب.فلن تدوم إذ ما دامت لأ
حد

lundi 7 mai 2007

La cellule

La cellule est l'unité de base du vivant. Tout organisme, du plus simple au plus perfectionné est constitué de cellules, parfois une seule, parfois plusieurs dizaines, voire plusieurs milliards de types différents dans un ensemble très coordonné. Certains éléments qui n'ont pas une structure cellulaires, les virus pour les nommer, sont obligé pour se reproduire de parasiter une cellule. En fait, dans la nature un virus n'a aucun des attributs du vivants (métabolisme, reproduction, etc...) et il les acquierts tous quand il infecte une cellule; certains biologistes hésitent à les qualifier de vivants (mais ceci est l'objet de controverse).
Les organismes pluricellulaires sont bien plus perfectionnés que les cellules isolées, mais leurs capacités ne sont dues qu'aux propriétés des cellules. Par exemple, c'est parce que les cellules animales peuvent de déformer que les animaux peuvent se déplacer. Les végétaux et les champignons ont des cellules rigides, ils sont au mieux faiblement mobiles, des flagelles peuvent éventuellement les faire progresser ou d'autres système comme des gonflements du cytoplasme (la variété des solutions mises en oeuvre par les végétaux pour tourner cette difficulté est d'ailleurs époustouflante). Autre exemple moins évident, c'est parce que les cellules hépatiques sont capables d'élever la température du sang jusqu'à 37°C , à 35 °C le cerveau humain n'est plus capable de constituer une pensée cohérente. Plus bas, il n'est plus capable de fonctionner. A 25°C, seules mêmes fonctions de bas niveau (respiration, circulation sanguine) s'arrêtent.
Puisque les propriétés des organismes dépend si étroitement de celles des cellules, il était normal que celles ci soient l'objet de nombreuses études। Une branche entière de la biologie leur est dédiée : la biologie cellulaire.





Les scientifiques du passé avaient divisé le monde en 3 règnes : animal, végetal et minéral. Cette description, basée sur ce qui était visible à l'oeil nu était inexacte parce qu'elle oubliait tout un pan de la vie tout en lui reliant le monde non-vivant. La découverte des cellules au XVIIeme sciecle puis celle des organismes unicellulaires ne va pas modifier cet état de chose; en se basant sur l'autotrophie et l'hétérotrophie de ces organismes unicellulaires, ils seront répartis entre végétaux et animaux. C'est ainsi que les bactéries sont classées dans les végétaux.En 1866, Haeckel estime que cette répartition est inadaptée, il regroupe les unicellulaires dans un nouveau regne, les protistes. La decouverte du microscope électronique au debut du sciecle va permettre de découvrir la différence fondamentale entre les bactéries et les autres cellules. Cela abouti en 1938 à la séparation du règne des monères (ou procaryote) depuis les protistes par Copeland. En 1969, Whittaker sépare les champignon des végétaux et crée le régne des fongidés. 9 ans plus tard, avec Margulis, il effectue un ultime remaniement de la classification en séparant les algues pluricellulaires des végétaux et en les regroupant avec les protistes. L'ensemble est renommé proctociste.
Dans les années 70, le monde vivant comportait donc deux grands types cellulaires, les procaryotes et les eucaryotes, le second ayant connu une évolution variée lui ayant permis de générer 4 régnes alors que les procaryotes semblaient moins diversifiés. Plus récemment, les progrés de la biologie moléculaire vont permettre d'effectuer une nouvelle découverte. Les procaryotes peuvent être divisée en deux groupes cellulaires aussi fondamentalement différents que le sont les bactéries des eucaryotes : les eubactéries et les archéobactéries. Cette decouverte abouti à la proposition par Woese en 1990 d'une division du monde vivant en 3 domaines basés sur la structure cellulaire: eubactéries, archéobactéries et eucaryotes.


Les eucaryotes
Les Eucaryotes sont les cellules qui constituent tout l'environnement que nous voyons, les plantes, les animaux et champignons ainsi que divers espèces unicellulaires tels que les amibes ou les paramécies. Ils sont caractérisées par la présence d'organites, sortes d'organes intracellulaire. Parmi eux, un organite est toujours présent : le noyau, qui contient l'information génétique de la cellule. Il est d'ailleurs à l'origine du nom de ce type (eucaryote = vrai noyau en latin). La structure génétique de ces cellules est constituée de plusieurs brins linéaire d'ADN (les chromosomes) et par des gènes en "mosaique", c'est à dire que les zones codantes du gène sont découpées en morceaux qui sont séparés par des zones non codantes.Les originalités des eucaryotes ne se limitent pas à des considérations génétiques. Celles-ci sont souvent de grande taille, ce qui les fragilise et diminue leur surface d'échange avec le milieu extérieur. Mais surtout, elles vont développer un cytosquelette, sorte de charpente intracellulaire mobile qui va permettre à la fois de se rigidifier (et de compenser leur fragilité) et de se déformer de façon contrôlée, phénomène qui est à l'origine du mouvement des animaux, mais aussi des cellules phagocytaire et qui est donc directement responsable de la grande variété des formes animales qui existent.

Les procaryotes
Par opposition, les procaryotes sont les cellules sans noyau. Ces cellules sont de petites tailles et sans organites intracellulaires. Leur matériel est constitué d'un unique chromosome circulaire et de divers morceaux d'ADN également circulaires mais beaucoup plus petit et en nombres variables (meme entre les individus d'une meme espèce, voire à des moments différents de la vie d'un meme individu) , les plasmides. En effet, alors que le chromosome se duplique de façon synchronisée avec la division cellulaire, les plasmides se repliquent de façon indépendante et sont répartis au hasard entre les deux cellules filles lors d'une division. De plus, certains plasmides ont la capacité de s'intégrer provisoirement au chromosome. Enfin, ces cellules ne contiennent pas de cytosquelette. Elles sont en général rigidifiées par un revetement externe et sont indeformables sauf chez les plus petites espèces). La structure des gènes différe également de ceux des eucaryotes, chez les procaryotes, ils sont continus et plusieurs d'entre eux sont regroupés au sein d'un meme ensemble fonctionnel, l'operon.

Eubactéries et archéobactéries
Pendant longtemps, procaryote a été synonyme de bactérie, jusqu'à la découverte en 1990 d'un type cellulaire nouveau, de toute évidence procaryote, mais qui ne sont pas des bactéries. Les bactéries ont donc été renommées eubactéries (vrai bactéries) et ce nouveau type cellulaire archéobactérie. Ces dernières partagent avec les eubactéries la possession d'un chromosome circulaire unique et l'absence de cytosquelette. Mais elles comportent aussi des caractères eucaoryotes tels que les gènes en mosaique et une structure génétique semblable. Ces caractèristiques intermédiaires les ont fait considerer comme les ancetres des deux groupes. Toutefois, elles disposent de particularités originales, leur membrane notamment est constitituée de lipides retrouvés nulle part ailleurs dans le monde vivant. La principale caractéristique des archeobactéries, à l'origine de leur popularité, est leur capacité a survivre dans les milieux extrèmes : eaux trés acides (pH <> 120°C) ou très froides ( <>


jeudi 12 avril 2007

Historique abrégé de la biologie





La biologie est une science à la fois très ancienne et très jeune. Très ancienne car les premières mention la concernant remontent à la prehistoire. Très jeune parce qu'elle ne s'est dégagée de la médecine qu'à partir de la renaissance.
Les plus anciens biologistes à avoir laissé une trace dans notre passé ne sont pas connus. Ils sont matérialisés par les troux circulaires trouvés sur des cranes fossiles, témoignage de tentatives de trépanation. Les raisons et le succés de ces interventions sont inconnus, mais ont sait toutefois que certains individus trépanés sont mort plusieurs années après l'opération. Ceci témoigne de connaissances relativement étendues dans le domaine anatomique et chirurgical, compte tenu des moyens techniques à leur disposition à l'époque. Les autres connaissances médicales des hommes préhistoriques ne se sont pas fossilisées, mais il est probables qu'ils disposaient d'une pharmacopée à base de plante qui leur permettaient de soigner les maux les plus courants.
L'antiquité fait l'objet d'une avancée considérable dans le domaine médical. A ce titre, l'Egypte fait figure de pionner, puisqu'elle nous laisse le plus important traité médical connu à ce jour. Les médecins égyptiens avaient même decrits les méninges, les trois enveloppes qui enveloppent le cerveau et la moelle épinière. Beaucoup de ces connaissances seront par la suite perdues pour être redécouverte en occident ces quatre derniers sciecles. Les philosophes grecs vont eux aussi s'interesser à la médecine. Hipprocrate, bien sûr, considéré comme le fondateur de la médecine et qui a donné sont nom au serment que prononcent tous les médecins, mais aussi Platon qui a decrit les nerfs (qui commandent les muscles), les veines (qui transportent le sang) et les artères (pour le transport de l'air) et désigné le coeur comme le siège de la pensée. Platon n'est pas responsable de ces erreurs, les méthodes de préparation des cadavres dont il disposaient vidaient les artères de leur sang et les faisaient ressembler à des nerfs. Toutefois, tous ces médecins se sont heurtés au clergé et à la morale qui reglementaient la manipulation des cadavres.
Galien, qui vivait au premier sciecle de notre ère à Alexandrie, est le plus grand médecin de l'antiquité et également le dernier. C'est aussi la dernière fois que l'antiquité autorisera la dissection de cadavres humains. Il corrigera les erreurs de Platon et éditera le plus complet des traités d'anatomies antique. Il posera aussi les bases de la méthode scientifique, que plus tard Descartes reprendra pour ecrire son discours de la méthode, affirmant entre autre que rien de doit pris comme vrai sans vérification. Toutefois, opérant surtout sur des animaux, il decrira le rete mirabele (réseau admirable), une structure spécifique des ruminants masi absente chez l'homme. Cette erreur perdurera pendant tous le moyen âge. Par une ironie du sort, les ecrits de Galien deviendront le dogme de l'église au moyen âge et beaucoup de médecin finiront brûlé pour avoir affirmé que le réseau admirable n'existe pas chez l'homme. A la mort de Galien, l'empire Romain est en pleine décadence et la période des innovations est terminée.
Alors que l'Europe sombre dans l'osbscurantisme, le flambeau de la civilisation est repris par l'Islam. La médecine n'échappe pas à la règle. Les plus avancés dans ce domaine sont les médecins du Moyen Orient , Mésopotamie et Perse, qui subissent les influences à la fois de l'antiquité Greco-Romaine dont ils sont les héritiers, mais aussi de l'Inde et la Chine, toujours en plein essort.
L'eclipse de l'Europe prendra fin lentement. Dès le douxième sciècle, l'université de Montpellier recevra le droit de dissequer des cadavres, dans un but éducatif, mais toujours selon la ligne de Galien. Mais il faudra encore trois sciecles pour que des médecins osent critiquer ces textes. Ce n'est pas un hasard si cette révolution se produit à Padoue, dans la république de Venise. L'empire commercial Venitien comprenait l'Empire Ottoman qui avait récupéré les richesses intellectuelles du monde Arabe.
Le début de la renaissance voit se produire de grande avancées dans le domaine médical et également la séparation de la biologie en tant que science indépendante.
L'invention du microscope par Lowenhoeck en Hollande fait faire une avancée phénoménale à la biologie, elle permet d'observer ce qui était trop petit pour être visible, mais aussi de découvrir tout un pan de la vie jusqu'alors ignoré. La cellule, unité de base du vivant, est découverte et la théorie cellulaire, toujours en vigueur ajourd'hui, est élaborée, même s'il faudra attendre l'invention du microscope électronique pour qu'elle soit définitivement admise par la communauté scientifique. Parallement à ce foisement de découverte, une classification élaborée, base indispensable à toute étude scientifique, est mise au point par le Suédois Linée. Mise au point chez les plantes, les scientifiques la généraliseront à l'ensemble du vivant. Des voyages étude seront même entrepris autour du globe pour constituer les collections servant à créer ces classifications. Celle ci seront à l'origine de grandes découvertes en biologie. C'est en étudiant les passereaux des iles Galapagos que Darwin élaborera sa théorie de l'évolution des espèce.
A la fin du XIX eme sciecle, la synthèse de composée organique par les chimistes mettra fin à l'idée d'un fluide spécifique de la vie et réduira la cellule à une usine chimique, hautement complexe il est vrai, mais sans pouvoir divins. C'est à la même époque que la dernière révolution de la biologie se met en place, la génétique. Le moine Gregor Mendel met en évidence les trois lois de l'héridité, dites lois de Mendel. Dans les années 30, Morgan situe le support de l'hérédité dans les chromosomes cellulaire, puis dans les années cinquante, les physiciens Watson et Crick decouvrent la structure de l'ADN. Dans les années 80, la découverte des enzymes de restriction verra la naissance du génie génétique.